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La ganivelle bois dans les clôtures de plage
C’est une palissade originale que l’on trouve sous un autre nom qu’est la barrière girondine. Ce sont des palissades que l’on retrouve notamment dans les dunes du littoral et au bord des plages, entre la terre et la mer. Ce sont des clôtures qui sont composées de bois en forme de lattes. Pour les lattes, le bois sélectionné est le bois de châtaignier.
Celui-ci est taillé dans des dimensions précises, puisque la taille est de 45mm et peut atteindre une épaisseur de 13mm. La disposition de ces lattes sur la palissade est verticale.
Ces clôtures ont un espace entre chaque latte comme on peut le voir ici où ces ganivelles peuvent avoir un écart de 2 à 4 cm, ou plus, jusqu’à 10cm d’écart. C’est une largeur qui est bien pensée, puisque cette largeur permet d’évoquer la perméabilité de la barrière.
Ces lattes sont assemblées entre elles par des tours de fils de fer galvanisé. Dans l’histoire de la ganivelle bois, c’est le châtaignier qui est utilisé avec un morceau qui a été refendu à la main. Ce procédé permet d’assurer une durabilité plus longue des lattes qui ont été sciées.
Comprendre pourquoi on utilise les ganivelles de bois :
- Ce sont des palissades qui ont été conçues pour réduire de manière importante la force et la vitesse du vent, grâce aux espaces entre chaque latte.
- La palissade en bois, qui est une ganivelle de bois peut lui permettre de pouvoir gérer tous les matériaux que le vent transporte, notamment le sable. C’est grâce à ces barrières que des chemins pour les humains ont été conçus sur les dunes pour accéder à la plage, puis à la mer. C’est une barrière très pratique, qui a permis à la fois de protéger la nature, et les humains de tous ce que le vent peut transporter.
Malgré tout cela, ne confondez pas l’expression ganivelle avec d’autres régions où ce mot peut avoir une toute autre signification.
Comment construire un mur de parpaings ?
Délimitation, mise en place, installation, élévation et achèvement… Dans cet article, nous vous proposons un tutoriel de bricolage pour la construction d’un mur en parpaings.
la phase de planification de la construction d’un mur en parpaings
La première étape consiste à définir l’emplacement du mur en enfonçant quatre piquets de bois dans la terre.
Ensuite, vous devez insérer 2 chevrons dans le sol à 80 cm de distance derrière chaque extrémité de la position du mur.
Enfin, insérez une traverse en bois entre chaque paire de chevrons afin de pouvoir planter des clous au milieu de chaque traverse à des intervalles égaux à la largeur de la fondation.
Ensuite, une ficelle sera utilisée pour relier les clous, face à face.
Les structures sous-jacentes du mur en briques de ciment
Pour réaliser le béton, on combine dans une première phase le ciment, le sable sec, le gravier et l’eau.
Veillez à respecter les ratios en fonction du volume des fondations.
Soyez prudent lorsque vous ajoutez de l’eau, car cela aura une incidence sur le degré d’humidité du sable.
Ensuite, créez la fosse de fondation en creusant la terre à la profondeur requise pour la protection contre le gel.
Le béton doit d’abord être coulé sur une épaisseur d’environ 4 cm. C’est ce qu’on appelle le béton propre.
Il faut ensuite laisser sécher le béton pendant environ une journée. C’est sur ce support que vous monterez les semelles en fer, qui seront relevées à l’aide de petites cales en plastique. Du fil de fer recuit est également utilisé pour les lier entre elles.
Le béton doit ensuite être coulé dans les fondations.
Le processus de séchage prend environ une semaine.
Construction d’un mur en parpaings
L’assemblage des parpaings est le but de cette opération. Pour cela, il est indispensable de préparer un mortier. Celui-ci est constitué d’un mélange de ciment, de sable et d’eau.
Bien entendu, le dosage doit être adapté à la surface du mur.
Vous devez tracer une ligne bleue à la craie autour du périmètre du mur sur la fondation en béton.
À chaque extrémité de l’emplacement du mur, un chevron doit être installé. En utilisant une ligne de craie, joignez les deux chevrons ensemble.
Le but de cette étape est de simplifier l’alignement horizontal des rangées de parpaings.
Un fil à plomb et un niveau à bulle peuvent être utilisés pour confirmer l’alignement vertical des parpaings.
Pour poser la première rangée de blocs, étalez une couche de mortier d’environ 2 à 3 cm d’épaisseur à l’intérieur de la ligne bleue.
Portez une attention particulière aux coins et aux emplacements uniques. Selon l’endroit où ils ont été fabriqués, les blocs d’angle peuvent être carrés ou ronds. Selon la longueur et la hauteur du mur, ils sont placés à chaque extrémité et, si nécessaire, au milieu.
Lorsque le mur a atteint sa hauteur définitive, des barres de soutien sont insérées dans la rainure des parpaings. L’objectif est d’assurer la cohésion structurelle de l’ouvrage.
le mur de parpaings en cours d’élévation
La première rangée de tourelles du parpaing sert à cisailler une couche de mortier pour ce processus. Rangée après rangée, les blocs de parpaings sont posés successivement. Jusqu’à ce que la hauteur totale du mur soit atteinte, cette procédure est répétée.
Il est bon de noter que les joints verticaux varient d’une rangée à l’autre. Pour ce faire, le parpaing est fendu en deux à l’aide d’un marteau.
Si nécessaire, on peut utiliser du mortier pour remplir les joints creux.
le mur en parpaings est terminé
Avec des fers à joints, les joints du mur peuvent être terminés de manière concave ou oblique. Si le mur est enduit, il est conseillé d’égaliser les surfaces des blocs et des joints en frottant le mur avec un morceau de polystyrène expansé.